Guide des emballages des jus de fruit

L'emballage des jus de fruits et des boissons fruitées non gazeuses

Ce guide permet de présenter les divers types de conditionnement de jus de fruits ou de boissons fruitées non carbonatées et non alcoolisées.

Le guide fournit des indications sur les différentes possibilités d’emballage, leur coût respectif (en Franc Français 1998 à mettre à jour) , les investissements qui y sont liés et les adresses ou manifestations utiles au bon développement du projet.

Vingt-et-un emballages différents sont présentés individuellement. Cette liste réalisée en 1998 est non exhaustive , le monde de l’emballage étant en perpétuel mouvement.

Introduction

Les pertes alimentaires sont estimées à 50% dans les pays les moins développés, à 30% dans la plupart des pays en voie de développement et à seulement 2% dans les pays développés ; ces différences peuvent être mises au compte de l’emballage et de la distribution .

Les économies ont des difficultés et le développement, surtout en Afrique, est lent.

Les problèmes commencent souvent avec les faillites des récoltes, les dégradations des produits agricoles sur les champs, la vermine dans les hangars de stockage suivis par l’incapacité de livrer ce qui reste.

Dans une société moderne, pratiquement toutes les marchandises sont
conditionnées et la distribution ne pourrait se réaliser sans l’utilisation d’un emballage approprié.

Afin de comprendre combien l’emballage est important dans notre vie quotidienne, les principaux avantages qu’il procure sont :


1. Pour la santé du consommateur :

  • L’emballage est une des solutions au problème de la famine, de la malnutrition et de la maladie : un rapport de l’organisation des nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) mentionne qu’un emballage et une manutention améliorés pourraient immédiatement réduire de 5% les pertes en récolte dans de nombreux pays ; ce seul progrès fournirait au moins 39 millions de tonnes de nourriture supplémentaire chaque année (soit presque deux fois le déficit mondial annuel).
  • L’emballage empêche le produit de s’avarier : il doit pouvoir fournir
    l’assurance d’un produit sain et réduire les risques de fraude.
  • L’emballage réduit fortement les maladies : les responsables de la santé publique considèrent l’emballage comme l’un des principaux acteurs ayant contribué, ces 100 dernières années, a la régression de la tuberculose, de l’influenza et de nombreuses maladies gastro-intestinales.
  • L’emballage permet au consommateur d’être informé sur ses achats : en indiquant la composition, la quantité, la durée de conservation, comment consommer et le servir mieux.
  • L’emballage est commode : en s’adaptant à tous les types de besoins avec des portions individuelles et des emballages à ouverture facile.
  • L’emballage permet d’offrir ut large éventail de marchandises qui
    n’existeraient pas sans lui : pouvoir boire du jus de mangue hors saison à des milliers de kilomètres de la plantation...

2. Pour l’entreprise :

  • Nous utilisons les matériaux d’emballage d’une manière plus efficace grâce aux progrès technologiques, pour emballer la même quantité de produit, nous utilisons moins de matériaux... sans pour autant sacrifier le produit (23% d’économie sur la boîte de lait en 18 ans, 25% sur la bouteille PET et sur la boîte aluminium en 20 ans).
  • L’emballage réduit le coût d"à peu près tous les produits en réduisant les dommages : les experts estiment que les coûts de distribution pour la plupart des produits manufacturés seraient au moins doublés si l’emballage n’existait pas.
  • L’emballage réduit le coût des produits alimentaires : en réduisant fortement les pertes dues à la pourriture et aux vermines.

3. Pour la société :

  • L’emballage réduit les déchets solides : une étude menée à Mexico a montré qu’un ménage produit 40% en plus de déchets qu’aux USA. L’une es raisons est qu’à Mexico on utilise moins d’emballage et d’aliments préparés ; les décharges comprennent beaucoup plus de déchets organiques.
  • L’emballage contribue à un niveau de vie plus élevé : grâce à une technologie d’emballage supérieure, les habitants des pays industrialisés dépensent, chaque année, moins pour la nourriture que ceux des autres pays ; l’argent ainsi économisé contribue à avoir un niveau de vie plus élevé.
  • L’emballage a largement contribué à l’emploi et aux revenus : aux USA, l’emballage est une industrie impliquant 75 à 80 milliards de dollars et employant plus de 2 millions de personnes. Les diplômés qui enseignent la science et la technologie de l’emballage sont parmi les techniciens les plus recherchés et les mieux payés.

Ceci signifie également que le coût de l’emballage est intégré dans la vie quotidienne de Chacun ; on considère que 5 à 50% du prix des produits peuvent être représentés par l’emballage seul, il est d’environ 16% pour le secteur alimentaire.

Les fruits font partie des ressources naturelles de pratiquement tous les pays d’Afrique, Caraïbes et Pacifique ; les variétés sont impressionnantes et jusqu’à maintenant, il faut bien reconnaître que peu de pays ont su exploiter ce gisement compte tenu de la fragilité du fruit frais.

Fabriquer du jus, du radar ou toute autre boisson à partir de ce fruit. constitue donc une des toutes premières étapes de sa mise en valeur.

L’une des difficultés rencontrées fréquemment par les promoteurs se situe au niveau du choix de l’emballage.

Les techniques de conditionnement

Les techniques de conditionnement

En combinant les différents procédés de stabilisation des jus (traitement thermique ou utilisation de conservateurs chimiques) et de remplissage (à chaud ou à froid) il est possible de classer les différents conditionnements comme suit :

A : La pasteurisation et le conditionnement à froid (courte conservation)
B : La pasteurisation et le conditionnement à froid avec conservateur chimique (longue conservation)
C : La pasteurisation avec conditionnement à chaud, et post-pasteurisation éventuelle (longue conservation)
D : Le traitement HTST (High Temperature Short Time) ou UHT (Ultra Haute Température) avec conditionnement aseptique (longue conservation)

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A : Les Jus réfrigérés (courte conservation)

LES PRODUITS FRAIS A COURTE DURÉE DE CONSERVATION

Définition :

Ce sont des produits qui ne se conservent pas plus de 2 à 4 semaines et qui doivent impérativement être conservés en chaîne froid (température inférieure à7°C) ; ce traitement étant réservé aux jus naturels.

Ce type de produit s’est beaucoup développé ces dernières années en Europe face à la demande accrue des consommateurs pour les produits naturels.

Principe :

Les jus proposés sont, pour la plupart obtenus directement d’une opération d’extraction du fruit frais, puis pasteurisés (température entre 80 et 95°C pendant 2 à 3 secondes) et refroidis ‘a +4°C (« flash » refroidissement) pour être conditionnés.

La distribution se fait obligatoirement en chaîne froid (moins de 7°C) et la conservation est limitée à 2 à 4 semaines ; des périodes plus courtes peuvent être mentionnées pour accélérer la vente des produits (8 jours comme pour le lait pasteurisé).

Avantages :

  • Produit d’excellente qualité organoleptique. se rapprochant le plus du jus de fruit naturel frais
  • Possibilité de produire avec des capacités faibles (moins de 1000 litres par jour)
  • Investissement en machine adapte’ à des petits projets pour les capacités les plus faibles

inconvénients :

  • Chaîne de distribution au froid souvent inexistante ou problématique en Afrique (éventuellement à créer)
  • Investissement à faire dans une chambre froide et un véhicule réfrigéré
  • Obligation de travailler avec des fruits frais imposant une production
    saisonnière selon le type de fruit traité

B : boissons aux fruits

LES BOISSONS AUX FRUITS= PRODUITS LONGUE CONSERVATION AVEC CONSERVATEUR

Définition :

Ce sont des produits qui peuvent être conservés à température ambiante pendant plusieurs mois grâce à la présence de conservateurs chimiques. Ce sont surtout des boissons fruitées avec adjonction de sucre et d’eau.

Principe :

Ce type de traitement est surtout réservé aux boissons fruitées avec dilution importante ; le pH (acidité) étant souvent supérieur à 5, il convient tout d’abord de le ramener à un pH inférieur à 4,2 en y ajoutant de l’acide citrique le plus souvent. Le conservateur est introduit en général avant pasteurisation, le conditionnement étant effectué à froid ; les conservateurs sont sélectionnés pour une double action :

o Sur les bactéries, moisissures et levures en empêchant leur développement
o Sur l’oxygène pour éviter les effet d’oxydation du produit.

Avantages :
o Technologie et installation simples
o Possibilité de conditionner à faible capacité (investissement de départ réduit)
o Possibilité de choisir des emballages très bon marché (sachet PE)
o Le produit se conserve à température ambiante

Inconvénient :

o Utilisation de produits chimiques (conservateurs) qui sont mal vus par les consommateurs (tendance des produits clean label)

C : Jus conditionnés à chaud

LES JUS LONGUE CONSERVATION CONDITIONNES A CHAUD :

Définition :
Ce sont des produits naturels, dont la conservation est obtenue uniquement par le traitement thermique ; ils peuvent être conservés plusieurs mois à température ambiante.

Principe :

Le conditionnement des jus de fruit à chaud, c’est à dire à une température comprise entre 80 et 95°C est la plus ancienne technique de conservation des jus de fruits et boissons fruitées à pH inférieur à 4,5 ; la conservation du produit s’effectue grâce à la double action de la chaleur (destruction des bactéries, moisissures, levures et enzymes) et de l’acidité. En effet, le jus, préalablement pasteurisé, désinfecte et stérilisé son emballage par l’action de sa propre température. On parle aussi d’auto-pasteurisation.

Pour des raisons de sécurité. il est également conseillé d’effectuer une post-pasteurisation (>80°C pendant quelques minutes) du produit et de son l’emballage ; pour les capacités supérieures à 2000 emballages par heure, les tunnels de post-pasteurisation sont également équipés d’une section de refroidissement en continu ;
le refroidissement rapide du produit limite les brunissements (réaction de Maillard).

Avantages :

  • Possibilité de travailler avec des cadences très faibles (à partir de 200 emballages par heure) donc avec des investissements initiaux modérés (moins de 300 kF pour le couple pasteurisateur-conditionneuse)
  • Produit de longue conservation à température ambiante
  • Pas de conservateur chimique

Inconvénient :

  • Refroidir rapidement l’emballage et son produit après conditionnement pour éviter les goûts de cuit.

Remargue :

La bouteille plastique n’a pas été mentionnée dans ce chapitre “Conditionnement à chaud” ;

Des recherches sont faites sur de nouveaux complexes et de nouvelles technologies capables à la fois de résister sans se déformer à la chaleur et d’avoir une barrière satisfaisante à l’oxygène ; la société Sidel a ainsi mis au point un système permettant la production de PET adapté au conditionnement à chaud (thermofixation) ; un nouveau polymère, le PEN (polyéthylène naphtalateÿ”), en mélange au PET permet également d’améliorer cette résistance. Ces nouveaux procédés ou produits n’ont pas été présentés dans ce guide car le coût est encore très prohibitif pour les marchés ciblés ;
il convient cependant d’en suivre le développement pour ne pas les éliminer de la sélection des emballages futurs.

D : Jus conditionnés en aseptique

D : LES PRODUITS LONGUE CONSERVATION CONDITIONNES ASEPTIQUES

Définition :
Le conditionnement aseptique a été développé par Tetrapak au milieu de la décennie 60 pour le conditionnement du lait UHT (140°C en 5 secondes).

Après avoir pris la plus grande partie du marché du lait, il intéresse maintenant beaucoup les industriels du jus de fruit pour des raisons de qualité car le produit ne subit qu’un traitement thermique très court, inférieur à la minute (contrairement au système avec conditionnement à chaud). ll se conserve également plusieurs mois à température ambiante.

Remarque : Pour les produits acides (pH < 4.5), un traitement à 90/95°C pendant quelques secondes (pasteurisation) est suffisant (HTST), par contre pour les produits à pH supérieur à 4.5, un traitement UHT (stérilisation) est nécessaire.

Principe :

Le produit (jus) est traité à haute température (de 95 à 140°C) pendant quelques secondes pour détruire toutes les bactéries, levures, moisissures et désactiver les enzymes responsables des altérations pendant le stockage ; il est ensuite refroidi rapidement à 20/30°C et conditionné de façon aseptique directement dans les emballages ; la conditionneuse doit donc être équipée d’une enceinte spéciale dans
laquelle toutes les opérations de conditionnement et de fermeture de l’emballage se font sans aucune présence de microbes ou autre contaminant ; l’emballage doit être également vierge de toute contamination, ce qui implique une désinfection préalable (peroxyde d’oxygène, ultraviolet, air chaud, etc...).

Pour éviter tout risque de contamination (un seul microbe peut être responsable du gonflement d’un emballage), il faut mettre en œuvre des techniques sophistiquées (automatisme, nettoyage intégré, etc...) qui imposent des débits de production élevés, en général supérieurs à 4000 emballages par heure.

Avantages :
o Une meilleure conservation des caractéristiques organoleptiques grâce à un traitement stérilisant très court et un conditionnement à froid

o Un produit complètement naturel. sans nécessité de conservateur chimique.

o La possibilité d’utiliser des matériaux d’emballage autres que le verre ou le métal, c’est-à-dire des cartons complexes et des plastiques multicouches.

Inconvénients :

o Un investissement élevé (supérieur à 5 million de FF pour le couple stérilisateur UHT-conditionneuse aseptique).

o Capacité de production importante.

o Haute technologie imposant un personnel de production et de maintenance très au point.

o Conditions de travail stériles au niveau du conditionnement.

Impact environnemental

Impact sur l’environnement

Depuis longtemps. voire depuis toujours, la solution de facilité a consisté à rejeter les produits en fin de vie, directement dans les milieux naturels (rivières, océans, atmosphère...) ou, indirectement, dans des décharges contrôlées ou non, avec ou sans incinération préalable. Le développement, la démographie, l’urbanisation, en multipliant les volumes de déchets et en réduisant l’espace disponible. ont fait prendre conscience à l’homme “moderne"que cette facilité était incompatible avec sa propre survie.

Valoriser les déchets est devenu une nécessité vitale qui touche non seulement les pays développés mais aussi toute l’Afrique.

En Europe. des lois relatives à « l’élimination des déchets » ont été mises en place par chaque pays membre ainsi qu’une “classification des établissements pour la protection de l’environnement”.

En Afrique ces législations sont encore embryonnaires. mais chaque citoyen est maintenant conscient de l’importance de la protection de son environnement.

Parmi les déchets les plus visibles. l’emballage alimentaire constitue une partie importante ; pour tout nouveau projet de conditionnement de boisson, il importe donc de tenir compte de cet aspect environnement. d autant plus qu il devient de plus en plus synonyme d’économie pour l’industriel.

En effet. l’entrepreneur s’est toujours préoccupé du prix de revient de ses produits. Ces dernières années. nous avons donc assisté à une évolution significative des emballages qui ont, dans le même temps, amélioré la protection de l’environnement en matière de :

  • réduction à la source par allégement des produits ; le poids de la boîte-boisson en acier a ainsi diminué de 7.1% de 1980 à 1992 puis de 33% de 1992 à 1995 (le poids du corps de la boîte—boisson est passé de 27 g à 10 g en 3 ans)

Les matières plastiques figurent à la première place en ce qui concerne la légèreté de l’emballage ; ainsi c’est grâce à cette légèreté que les produits plastiques, tout au long de leur vie. font preuve d’efficacité écologique :

o à la production. c’est une économie de 56% de pétrole qui est faite en remplaçant la bouteille verre par la bouteille plastique.

o dans les transports, c’est de nouveau une économie de 39% de pétrole en faveur de la bouteille plastique

o Amélioration des procédés de fabrication pour diminuer les consommations spécifiques de matières, d’énergie et d’eau. Dans la fabrication des monomères, les rejets d’eau ont été divisés par 10 voire par 20 dans certaines unités, au cours des 10 dernières années ; dans la polymérisation des plastiques, l’amélioration des procédés a permis de diviser par 2 ou 3 l’énergie nécessaire à l’obtention d’une tonne de résine, pendant la période 1970/1990”.

o Réutilisation des emballages : c’est une solution ancienne très souvent développée en Afrique (bouteille de bière) ; la réalité est en fait assez complexe. Lorsque l’on effectue les analyses de cycle de vie (ACV) par exemple entre une bouteille en verre réutilisable 10 fois et une bouteille perdue en plastique, on s’aperçoit que l’emballage plastique est à la fois moins cher et moins polluant. Des comparaisons
entre verre perdu et verre consigné ont également montré que la consignation n’est valable que :

o pour des distances de retour inférieures à 150 km
o pour un nombre de rotation ne dépassant pas 15

En dehors de ces limites, les écobilans montrent que les consommations de produits de lavage et de rinçage, d’énergie, et les pollutions associées pour des bouteilles réutilisées, rendent défavorables la comparaison avec des bouteilles mono-usages plus légères ; mais. là comme ailleurs, chaque cas doit faire l’objet d’une analyse particulière comparative. si on veut être assuré de prendre la meilleure décision sur les plans économique et écologique.

En matière de suremballage par contre, la réutilisation des caisses en plastique a largement surpassé l’utilisation du carton simple (soft-drinks, bières, produits laitiers etc...) dans l’ensemble des pays africains.

En ce qui concerne la valorisation des emballages en fin de vie, il existe à ce jour deux voies principales :

o Le recyclage : Le terme “partiellement recyclé« inscrit sur un emballage signifie qu’il contient des matériaux recyclés, le tonne “recyclable” signifie “qui peut être recyclé ».
Autant il est facile de recycler les rebuts de fabrication (exemple la réutilisation des déchets de fabrication des bouteilles ou du film plastique). autant il est difficile de recycler les emballages après leur utilisation dans le circuit de distribution ; le processus de recyclage impose la mise en place d’un réseau en quatre étapes :

o collecte
o préparation (tri, broyage, lavage. séchage, conditionnement)
o régénération sous forme de matériau de base (granulé pour le plastique, barres pour le métal etc...)
o transformation

Par ailleurs de nombreux emballages étant constitués eux même de plusieurs matériaux (plastique. métal. carton pour la brique par exemple), ils peuvent être également contaminés et il devient donc très difficile de les recycler.

On peut assister à des recyclages de l’emballage pour des utilisations secondaires (fabrication de fibres textiles à partir de bouteilles plastiques par exemple). L’industrie des pays développés investit énormément pour mettre au point des nouvelles technologies valorisant au mieux ces déchets ; ceci représente un nouveau marché en pleine expansion ; les cours des déchets de matériaux d’emballage sont ainsi revus chaque mois selon des spécifications techniques précises.

Bibiographie :

1-Feuilles techniques n°’ 11 ; avril 1996 ; Les bienfaits de l’emballage sur
l’environnement. CCI/CNUCED/OMC.

2-Feuilles techniques n° 14 ; avril 1996 ; Douze avantages importants que l’emballage offre à la société. CCI/CNUCED/OMC.

3- RIA n° 525, oct. 1994 ; La boîte — boisson : 18g en 1995 ; p. 95.

4- La plasturgie et l’environnement n° 326 -1995/96. Conception et fabrication des produits. pp. 4 à 8.

5- EUWID volume 2 n“ 11. 29 mai 1996 ; Flecycling and Waste Management : p. 9.

6-Feuille Technique n° 18. avril 1996 ; Que savez-vous sur l’emballage et l’environnement ? CCI ICNUCED/OMC.

7- Le statut légal des jus de fruits et de légumes. nectars et boissons aux fruits. 1981 ; Edité par I’Union Nationale des Producteurs et Distributeurs de Jus de Fruits et de Légumes, de Nectars et de Boissons aux Fruits de la Métropole et d’Outre—Mer.

8- Deborah Tampo, 1992 ; Les eaux conditionnées. Collection Sciences &
Techniques Agro-Alimentaires. Tec & Doc Lavoisier, Paris. p. 54.

9- RIA n° 546. nov. 1995 ; Les emballages actifs prêts à déferler. pp. 74 à 76.

10- RIA n° 536. avril 1995 ; 202 : le nouveau format des boîtes-boissons. pp. 51 à 53.